En partenariat avec le festival Art et Nature « FORÊTS ».
J’étais là et pouf tout a disparu.
Une obscurité réconfortante voit naître paisiblement, sur quelques notes d’accordéons, la délicate poésie du mouvement.
Des pieds dans un sens et des mains dans l’autre : c’est l’exploration de soi, la curiosité d’une transformation… Et puis d’une autre, encore une autre, quant-une bassine, soudainement s’en mêle. Des animaux apparaissent, des disputes, désaccords et cabrioles, une bassine qui se gausse, railleuse à la tête dure, elle sème la discorde, s’accroche, s’attache, que faire pour s’en dégager ?
En bref : une prise de tête bassinale sur le chemin du renouveau.